LEXIQUE NATURE & ÉCOLOGIE

a b c d e f g h i j k l m
n o p q r s t u v w x y z

Abiotique

Se dit d’un facteur physique qui influence la vie au sein d’un écosystème et dont l’origine n’est pas liée à la matière vivante : température, lumière, précipitations, structure du sol… Ces facteurs peuvent être néfastes pour l’environnement, comme le sont les émissions de gaz toxiques dans l’atmosphère.

Adaptation

Transformation lente de la structure ou de la fonction d’un organisme afin que celui-ci puisse survivre et se reproduire dans un environnement donné. Des espèces s’adaptent, d’autres disparaissent. Actuellement, et partout sur la planète, la dégradation et la transformation des habitats naturels sont beaucoup trop rapides pour que certaines espèces aient le temps de s’adapter.

Agenda 21

Programme d’actions destiné à concrétiser les objectifs et les principes du développement durable définis lors du sommet de la Terre à Rio en 1992. Ces actions agissent en faveur de la nature et de l’environnement et sont mises en œuvre par les collectivités territoriales, les villes, les organismes associatifs…

Anticyclone

Zone atmosphérique où la pression est plus élevée que dans les régions environnantes. Dans un anticyclone le vent se déplace du centre vers la périphérie dans un mouvement descendant et dans le sens des aiguilles d’une montre dans l’hémisphère nord. Dans l’hémisphère sud, la rotation se fait dans les sens contraire des aiguilles d’une montre.

Anthropique

Qui est propre à l’homme ou qui résulte de son action : pollutions industrielles, déforestation, contamination des nappes d’eau souterraine…

Aridité

Situation où l’évaporation est supérieure aux apports en eau (précipitations, rivières, irrigation). Une zone aride est pauvre voire totalement dénuée de végétation.

Atmosphère

Mince pellicule d’air protectrice qui enveloppe la Terre. Sans atmosphère, la vie sur notre planète serait impossible.
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Biodiversité

Diversité animale, végétale et microbienne d’un milieu. La conservation de la biodiversité contribue à l’équilibre et la stabilité de la planète. Ce patrimoine constitue un inestimable réservoir de ressources biologiques pour la recherche médicale et pharmaceutique, pour l’agronomie et l’industrie. On estime qu’au 20ème siècle la destruction des habitats a entraîné la perte de la diversité la plus rapide et la plus désastreuse de l’histoire de la Terre.

Biomasse

Masse de l’ensemble des êtres vivants.

Biosphère

Partie de la planète dans laquelle évoluent les êtres vivants. Cette zone se limite aux basses couches de l’atmosphère, à une partie de l’écorce terrestre et aux eaux.

Biotique

Se dit des facteurs ou processus de l’environnement qui résultent des activités des organismes vivants. Les facteurs biotiques comprennent la compétition et la prédation.

Biotope ou niche écologique

Milieu terrestre ou aquatique abritant des espèces vivantes.
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Chaîne alimentaire

Chaque organisme se nourrit de celui qui le précède hiérarchiquement dans une chaîne alimentaire. Dans la nature, la nourriture passe des producteurs comme les végétaux, aux différents consommateurs tels que les herbivores, les carnivores et les décomposeurs.

Climat

Combinaison des paramètres atmosphériques (vent, température, ensoleillement, précipitations) en un lieu donné et sur une période définie (mois, années, siècles, millénaires).

Combustibles fossiles

Combustibles s’étant formés il y a plusieurs millions d’années (pétrole, charbon, gaz  naturel) à partir des végétaux et des animaux conservés dans la roche. Les réserves de combustibles fossiles sont en cours d’épuisement.

CO2

Gaz carbonique ou dioxyde de carbone.  Les être vivants, et principalement l’homme, influent par leur respiration et leurs activités sur la quantité de CO2 dans l’atmosphère. Ce gaz contribue de façon notoire à aggraver  « l’effet de serre ».

Compétition

Lutte entre des individus ou des populations qui utilisent les mêmes ressources dans un écosystème donné (nourriture, espace, abri…).

Consommateur

Organisme situé au-dessus du premier niveau de la chaîne alimentaire constituée par les végétaux (les producteurs). Les consommateurs primaires sont généralement des herbivores et les secondaires des carnivores.

Coprophage

Invertébré qui se nourrit d’excréments animaux et qui joue un rôle essentiel dans la décomposition des déjections. Les organismes coprophages appartiennent à la catégorie des décomposeurs.

Cycle de l’eau

Système de circulation naturelle par lequel l’eau est recyclée dans l’environnement. L’eau qui s’évapore des océans, des mers, des lacs et des zones humides s’élève dans l’atmosphère sous forme de vapeur. Cette vapeur se refroidit et se condense pour retomber sous forme de précipitations (pluie, neige ou grêle). Cette eau est en partie absorbée par le sol et ruissèle pour alimenter les rivières et les fleuves qui finissent par regagner les océans. Les animaux et les plantes consomment de l’eau qu’ils dégagent directement dans l’atmosphère sous forme de vapeur, par la transpiration et la respiration.

Le cycle de l’azote

Comme le carbone et l’eau, l’azote est nécessaire à la vie et doit donc pouvoir circuler dans les écosystèmes. Sous forme de composé inorganique laissé dans le sol, l’azote est absorbé par les plantes et transformé en composé organique (les protéines). Une partie de cet azote est mangée par les herbivores qui nourrissent à leur tour les carnivores. L’azote retourne finalement dans le sol sous forme d’excréments ou de cadavres. Il y est ensuite retransformé en matière inorganique par les bactéries et les champignons (décomposeurs) avant d’être à nouveau consommé par les plantes.

Le cycle du carbone

Le carbone du CO2 est absorbé par les végétaux lors de la photosynthèse puis transformé en glucides. Cette transformation s’accompagne d’un dégagement d’oxygène. Ces glucides sont ensuite consommés par les plantes et les animaux qui les rejettent à leur tour sous forme de CO2 dans l’atmosphère par la respiration. Le CO2 résulte également des feux de forêt et de la combustion des ressources fossiles, combustions excessives qui risquent de modifier le cycle du carbone.
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Décomposeur

Petit organisme du sol qui décompose la matière organique morte en matière minérale réutilisable par les plantes.

Déforestation

Destruction permanente et intensive des forêts. Le bois est utilisé comme combustible ou comme matériau de construction et le défrichement des parcelles permet l’implantation de terres agricoles. Une fois découverts, les sols fertiles sont lessivés par les pluies et emportés par le vent. Cette érosion accélérée provoque des sécheresses et des inondations. Des essences rares ou totalement inconnues disparaissent à jamais. La faune sauvage quitte les lieux et se trouve à son tour menacée, et comme il y a moins d’arbres pour absorber le CO2 de l’air, la déforestation accroît indirectement la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère. Non réglementée (régénération forestière complémentaire – établissement et respect des quotas), la déforestation à grande échelle (forêts tropicales) constitue une terrible menace écologique pour la planète.

Dépression

Zone atmosphérique où la pression est plus basse que dans les régions environnantes. Dans une dépression le vent se déplace dans un mouvement ascendant et dans le sens inverse des aiguilles d’une montre dans l’hémisphère nord. Dans l’hémisphère sud, la rotation se fait dans les sens des aiguilles d’une montre.

Déserticole

Se dit d’un animal qui vit dans les régions désertiques.

Développement durable

Concept proposant d’allier l’objectif du développement socio-économique des sociétés humaines à celui de la préservation de l’environnement et des ressources naturelles sur le long terme.
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Ecologie

Science qui étudie les rapports entre les organismes vivants et leur environnement, inerte ou vivant. Le terme écologie a été créé en 1866 par le biologiste Ernst Haeckel. L’écologie s’intéresse également à la gestion et à la conservation des milieux naturels et des espèces (organismes individuels, populations ou communautés entières) ainsi qu’aux conséquences des différentes atteintes à l’environnement et à la lutte contre celles-ci.

Ecosystème

Ensemble constitué par un milieu (biotope) et tous les organismes vivants qui en dépendent (biocénose). Les écosystèmes sont plus ou moins grands et complexes. La biosphère est un super écosystème constitué par la Terre, l’atmosphère et l’ensemble des organismes qui y vivent. Une simple mare forme également un écosystème qui se compose des végétaux et des animaux qui y vivent, de l’eau, de la roche et de toutes les substances en décomposition. L’équilibre au sein d’un écosystème est infiniment fragile (il peut être facilement menacé par l’arrivée ou la disparition d’un prédateur, l’assèchement d’un cours d’eau, etc), comme l’est également celui qui règne entre plusieurs écosystèmes. La suppression, la dégradation ou le rajout d’un élément peut complètement déstructurer un écosystème.

Endémique

Se dit d’une espèce spécifique d’une région géographiquement délimitée.
 

Effet de serre

Augmentation de la température des couches inférieures de l’atmosphère terrestre causée par les radiations solaires. Cette chaleur est absorbée puis réémise par la surface de la Terre et reste en partie piégée, comme dans une serre, par certains gaz atmosphériques : les gaz à effet de serre ou GES. L’utilisation croissante des combustibles fossiles (charbon, gaz naturel et pétrole) par les industries et les moyens de transport contribue à augmenter la teneur en CO2, un GES, de l’air qui nous entoure. Il en résulte un réchauffement anormal de l’atmosphère, supérieur à « l’effet de serre » naturel.

Energie renouvelable

Energie produite à partir d’une source qui se reconstitue elle-même : énergie solaire, énergie hydroélectrique, énergie éolienne, énergie marémotrice, énergie géothermique. Ces énergies, théoriquement inépuisables, ne consomment pas de combustible fossile et ne rejettent aucun gaz polluant.

Environnement

Ensemble des conditions biotiques (qui résultent des activités des organismes vivants) et abiotiques (dont l’origine n’est pas liée à la matière vivante) qui influent sur un organisme particulier. Pour un être vivant, un environnement peut être urbain, rural, naturel, etc. Ce terme est aussi couramment employé pour désigner l’environnement global de la planète, sans aucune référence à un organisme particulier.

Erosion

Phénomène d’usure des roches de la surface de la Terre par des vecteurs tels que le vent, l’eau et la glace.

Espèce

Groupe de populations dont les individus sont capables de se reproduire entre eux et d’engendrer des descendants féconds.

Evolution

Transformation lente des organismes vivants au cours des générations successives aboutissant au développement d’espèces ou de sous-espèces à partir d’un ancêtre commun.

Extinction

Disparition complète d’une espèce. Une extinction peut avoir une origine naturelle ou humaine.
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Facteur écologique

Elément d’un milieu susceptible d’influencer la vie d’un être vivant (voir abiotique et biotique).

Glaciation

Epoque géologique marquée par une extension des calottes glaciaires vers les basses latitudes et des glaciers montagnards dans les vallées.

GES

Gaz à Effet de Serre. Ces gaz contribuent à l’augmentation de l’effet de serre. Les principaux GES sont : le CO2 issu de l’utilisation des combustibles fossiles et des feux de forêt, le méthane qui provient essentiellement de l’agriculture et les chlorofluorocarbones, ou CFC, produits par l’industrie chimique. La vapeur d’eau participe aussi à l’effet de serre.
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Halophile

Se dit d’un organisme susceptible de supporter la salure des terrains ou de l’eau. Le tamaris (un arbuste fréquent dans le Sahara) est une plante halophile.

Habitat

Milieu où vit un organisme particulier. Sur Terre, la diversité et la taille des habitats sont considérables. La banquise, le gazon alpin ou l’intérieur d’une minuscule concavité forment des habitats. La destruction des habitats naturels par l’homme constitue un fléau écologique majeur aux conséquences irréversibles. Détruire un habitat signifie détruire les espèces animales et végétales qui y vivent.

Hibernation

Etat de vie ralentie dans lequel certains animaux survivent pendant la saison froide (chauves-souris, hérissons…).

Hivernage

Ensemble des phénomènes par lequel certains animaux peuvent résister à la saison froide grâce à diverses adaptations (hibernation, migration, enfouissement…).
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Météorologie

Science qui étudie l’atmosphère ainsi que le temps et sa prévision.

Microclimat

Conditions climatiques régnant sur une zone restreinte. Le climat d’un vallon encaissé et ombragé constitue un microclimat.

Migration

Déplacement périodique et généralement saisonnier qu’effectuent certaines espèces animales pour gagner des territoires plus riches en nourriture ou plus propices à la reproduction. Les oiseaux, les mammifères et les poissons migrent.

Mimétisme

Ressemblance d’une espèce avec un élément (l’écorce d’un arbre par exemple) ou une autre espèce lui assurant une protection supplémentaire contre ses prédateurs. Le caméléon adopte la couleur du support sur lequel il se trouve et certains papillons arborent des figures ou des couleurs repoussantes sur leurs ailes pour effrayer les oiseaux qui les consomment.
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Nappe phréatique

Accumulation d’eau souterraine résultant de l’infiltration d’eau de pluie. Les produits chimiques utilisés par l’agriculture contaminent ces réserves en eau et le pompage excessif pour l’irrigation de certaines cultures (maïs) peut appauvrir ces nappes.

Niche écologique

Place occupée par une espèce dans son habitat.

Ozone

Gaz qui se forme principalement entre 20 et 30 km d’altitude (pour les hautes couches) par dissociation de l’oxygène gazeux (O2) sous l’effet du rayonnement solaire. L’ozone (O3) de la haute atmosphère est bénéfique pour la vie car il filtre les rayons nocifs du soleil. En revanche, celui de la basse atmosphère est un dangereux polluant urbain qui accentue les maladies du système respiratoire. On constate que, depuis de le début de l’ère industrielle, la teneur en « mauvais » ozone des basses couches atmosphériques augmente tandis que le « bon » ozone de la haute atmosphère, celui de la fameuse « couche d’ozone », diminue. La destruction de la couche d’ozone est surtout visible au-dessus des régions polaires.
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Plaques tectoniques

La croûte terrestre est formée de plusieurs morceaux ou plaques qui s’imbriquent un peu à l’image d’un gigantesque puzzle. Ces plaques bougent, se déplacent et se heurtent. C’est la tectonique des plaques qui est à l’origine des séismes.

Photosynthèse

Processus chimique qui permet aux végétaux de synthétiser de la matière organique à partir de l’énergie lumineuse et du gaz carbonique de l’air. Lors de la photosynthèse, les plantes rejettent de l’eau et de l’oxygène dans l’atmosphère.

Pollution

Nuisance environnementale d’origine naturelle (éruption volcanique, décomposition organique…) ou humaine (pollutions chimiques). Certaines substances polluantes peuvent intégrer les chaînes alimentaires et se transmettre d’un organisme à un autre, comme le font les pesticides et autres produits utilisés par l’agriculture. Ces poisons sont consommés par les insectes et les rongeurs et transmis à leurs prédateurs, oiseaux ou mammifères. La pollution chimique peut se déplacer sur d’immenses distances et avoir des effets sur des régions éloignées voire sur l’ensemble du globe. Les polluants rejetés en mer sous nos latitudes sont transportés par les courants océaniques dans les régions arctiques et contaminent les réseaux alimentaires polaires. Les déchets matériels d’origine humaine constituent non seulement une nuisance visuelle mais peuvent aussi perturber certains cycles écologiques, comme la photosynthèse des végétaux marins lorsque les fonds océaniques sont recouverts de plastique et autres matériaux à décomposition lente. On parle également de pollution sonore.

Point chaud

Région (25 au total) dans laquelle se concentre l’essentiel de la biodiversité mondiale.

Population

Groupe d’individus de la même espèce vivant dans une même aire géographique.

Prédateur

Animal qui en tue un autre (la proie) pour se nourrir. L’homme est un super prédateur.

Pression atmosphérique

Pression exercée par l’atmosphère sur une surface donnée (l’air a un poids).

Producteur

Situé à la base de la chaîne alimentaire, le producteur fournit de la nourriture au consommateur. Les producteurs primaires sont les organismes qui vivent sans se nourrir de composés organiques, comme les végétaux, qui transforment l’énergie lumineuse en matière organique et fournissent de la nourriture aux consommateurs que sont les herbivores.
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Réchauffement global

Augmentation générale de la température du globe. Le réchauffement « normal » et cyclique de la planète est aujourd’hui amplifié par l’accroissement de l’effet de serre, dû aux pollutions d’origine humaine.

Ressources naturelles

Ressources énergétiques que l’on trouve dans la nature, utilisées pour répondre aux besoins des êtres vivants. Ces ressources se classent en deux catégories : les « ressources renouvelables » comme l’eau, le vent ou le bois, et les non renouvelables comme les minerais et les combustibles fossiles.
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Saisons

Division de l’année ayant un climat caractéristique. Les variations saisonnières sont dues aux variations de l’inclinaison de l’axe de la Terre par rapport au Soleil.
 

Sahel

Zone subdésertique qui borde le sud du Sahara.

Salinisation

Accumulation de sel dans les couches superficielles du sol en partie causée par la surexploitation des nappes phréatiques. Dans les régions désertiques, les terres trop riches en sel sont impropres à l’agriculture.

Sixième extinction

L’histoire de la Terre a toujours été marquée par des périodes d’extinction en masse. Il y a 250 millions d’années, 90% des espèces marines disparaissaient. C’est à la fin du crétacé (- 65 millions d’années) que disparaissaient les dinosaures et les reptiles volants et il y a 10 000 ans seulement s’éteignaient les grands mammifères comme le mammouth et le tigre à dents de sabre. Ces différentes extinctions ont été provoquées par des bouleversements climatiques, des séismes ou des catastrophes d’origine cosmique comme l’impact de météorites géantes.
On estime actuellement que 1% des espèces disparaissent chaque année. Cette nouvelle phase d’extinction dramatique, encore appelée sixième extinction, est probablement la plus rapide et la plus destructrice que la Terre ait connue. La nature est « stressée » et les espèces n’ont plus le temps de s’adapter au rythme des changements qui bouleversent les équilibres écologiques de notre planète (réchauffement, destruction des habitats). Mais cette fois-ci une seule espèce est responsable de cette crise : l’homme. Les scientifiques considèrent une espèce comme éteinte si elle n’a pas été observée pendant 50 ans.

Surpâturage

Exploitation excessive des pâturages par le bétail entraînant la dégradation de la végétation et des sols.

Symbiose

Association de deux ou plusieurs organismes vivants qui se rendent des services complémentaires leur permettant de vivre. Les êtres associés s’appellent des symbiotes.
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Terre

La Terre aurait 4,5 milliards d’années. Elle est constituée d’une superposition de couches concentriques. L’atmosphère est une pellicule d’air qui enveloppe la Terre. La partie de l’atmosphère propice à la vie est appelée troposphère et n’a qu’une faible épaisseur variant de 8 km aux pôles à 16 km à l’équateur. Les mers et les océans constituent l’hydrosphère, qui couvre les 2/3 de la surface du globe avec une épaisseur moyenne d’environ 4000 m. La lithosphère est l’enveloppe rocheuse rigide de la planète. Elle est formée par la croûte terrestre et la partie supérieure du manteau qui s’appuie sur l’asthénosphère, une couche relativement visqueuse, et la mésosphère qui redevient plus rigide. Le centre de la Terre, ou noyau, se compose d’une enveloppe liquide et d’un cœur solide.

Vie

Il y a 4,5 milliards d’années, lorsque notre planète s’est formée, aucune trace de vie n’existait. La vie serait née dans les mers chaudes il y a environ 3,8 milliards d’années. Les premiers organismes étaient des algues. Puis, au fil des temps géologiques et de l’évolution, apparurent les invertébrés, les poissons, les amphibiens et les reptiles.


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